Comment se débarrasser des sorcières (1)
Première leçon : le bûcher.
Les bûchers présentent tous quelques caractéristiques communes. Généralement, il y a un poteau central sur lequel sera lié la sorcière.
Dans le cas d'un banal poteau, il faut penser à se munir de cordes pour la lier. Certains poteaux sont néanmoins munis de chaînes, voire de menottes, prévues spécialement pour résister aux hautes températures, et donc réutilisables (la famille Denfer est contre le gaspillage).
Ensuite, bien choisir son bois.
Si vous mettez beaucoup de bois, bien sec, votre flambée sera certes belle, et très impressionnante pour les spectateurs, mais décidément trop rapide.
Il vaut mieux choisir un bois légèrement humide, se consumant lentement, voire produisant un peu de fumée (pas trop néanmoins, une mort par asphyxie est bien moins intéressante). Tout est question de dosage.
Là, vous pourrez jouir pendant une demi-heure (voire plusieurs heures si vous êtes très bons) de corps tortillants et hurlants. Si possible, organiser l'exécution à la nuit tombée.
Le spectacle de flammes léchant des victimes enchaînées sur fond de crépuscule est sans doute une des expressions de la Beauté la plus sombre.
Sinon, il existe désormais un matériel de pointe, permettant de réguler la température des flammes à l'aide d'une télécommande. On n'arrête pas le progrès.
Je reste néanmoins attachée à la tradition du bois récupéré un soir de pleine lune. Cela a quelque chose d'infiniment touchant.
Ma petite Sandy, et si tu passais à l'exercice pratique sur notre chère invitée Crochula ?
Les bûchers présentent tous quelques caractéristiques communes. Généralement, il y a un poteau central sur lequel sera lié la sorcière.
Dans le cas d'un banal poteau, il faut penser à se munir de cordes pour la lier. Certains poteaux sont néanmoins munis de chaînes, voire de menottes, prévues spécialement pour résister aux hautes températures, et donc réutilisables (la famille Denfer est contre le gaspillage).
Ensuite, bien choisir son bois.
Si vous mettez beaucoup de bois, bien sec, votre flambée sera certes belle, et très impressionnante pour les spectateurs, mais décidément trop rapide.
Il vaut mieux choisir un bois légèrement humide, se consumant lentement, voire produisant un peu de fumée (pas trop néanmoins, une mort par asphyxie est bien moins intéressante). Tout est question de dosage.
Là, vous pourrez jouir pendant une demi-heure (voire plusieurs heures si vous êtes très bons) de corps tortillants et hurlants. Si possible, organiser l'exécution à la nuit tombée.
Le spectacle de flammes léchant des victimes enchaînées sur fond de crépuscule est sans doute une des expressions de la Beauté la plus sombre.
Sinon, il existe désormais un matériel de pointe, permettant de réguler la température des flammes à l'aide d'une télécommande. On n'arrête pas le progrès.
Je reste néanmoins attachée à la tradition du bois récupéré un soir de pleine lune. Cela a quelque chose d'infiniment touchant.
Ma petite Sandy, et si tu passais à l'exercice pratique sur notre chère invitée Crochula ?